15 degrés ce matin mardi. Ca m'a
permis de faire un tour de vélo avant qu'il ne fasse trop chaud mais
la température monte vite.
Je suis monté sur le point le plus haut pour prendre une photo du village, ou du moins du centre parce qu'il
y a plein de ramifications.
On a reçu un devis d'un fabricant de
fenêtres. Les prix semblent correct, on attend le 2eme pour
comparer.
Aujourd'hui José est enfin venu couper
les poiriers en petits morceaux pour la cheminée cet hiver. José
c'est un jeune du village qui sait tout faire et que tout le monde fait
travailler pour 6 euros de l'heure afin qu'il puisse manger (ou
boire). On sait pas s'il consomme pas plus que sa tronçonneuse. Il ne
parle pas français alors il me faut l'aide du voisin Constantino.
Fin de soirée, pendant qu'on étanchait
la soif de José avec les voisins il se met à pleuvoir. Il paraît
que c'était prévu parce que le vent arrive du sud-ouest.
Notre village Painho ou du moins la partie centrale.
On est mercredi et il a plu une bonne
partie de la nuit. Ce matin le ciel est très couvert et la
température a donc augmentée. Pas de pluie la journée mais le ciel est trés couvert.
A 9h alors que l'on été à peine prêt,
voilà Luis qui arrive avec son tracto-pelle. Luis, c'est aussi un
jeune du village et on dirait qu'il est né sur un tracto-pelle et qu'il habite
dessus.
Trois-quart d'heure plus tard c'est le
chantier sur le terrain. Tarif 40 euros en tout pour José et Luis
pour arracher et couper en petits morceaux 100 poiriers.
Maintenant, quelqu'un va venir
récupérer les souches et il ne restera plus qu'à faire passer un
engin pour labourer et aplanir.
On commence à penser au retour. Départ
dimanche matin par le Nord pour rentrer tranquillement et faire une
halte à Bordeaux mardi ou mercredi.
On est partageait entre le plaisir de
retrouver la maison, la famille et les amis et un peu le bourdon de
partir d'ici.
Là c'est le chantier.
Reste plus que 20 poiriers
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